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Lu dans le journal Sud ouest

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1Lu dans le journal Sud ouest Empty Lu dans le journal Sud ouest Dim 10 Fév 2013 - 15:20

Erwan

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Le voilier du Major Hassler, vicime des intempéries ...

Lu dans le journal Sud ouest Voilie10

Lu dans le journal Sud ouest 2013-010

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2Lu dans le journal Sud ouest Empty Re: Lu dans le journal Sud ouest Ven 9 Aoû 2013 - 8:34

Erwan

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http://www.sudouest.fr/2013/08/05/l-artillerie-sous-marine-de-herr-fritz-todt-1132890-4626.php
L’artillerie sous-marine de Herr Fritz Todt
Au droit de la dune, face au Petit Nice et à la maison forestière, la mer cache une vingtaine de blockhaus et leurs installations, construits sur une crête il y a soixante ans.
Lu dans le journal Sud ouest ImageProxy.mvc?bicild=&canary=S1l8xv%2fGq8CuC6abGQoy4BOkYOF5thg8vnQW57TfENk%3d0&url=http%3a%2f%2fwww.sudouest.fr%2fimages%2f2013%2f08%2f05%2f1132890_2161321_460x306
Sur une ligne parallèle à l’estran, les bunkers s’étendent sur plusieurs hectares
La mer mange le sable. Elle dévore le rivage. La dune se dérobe, elle recule. Au pied de la dune du Pilat, l’érosion a déplacé l’estran. Et la ligne de bunkers construite sur une crête de dunes par les Allemands entre 1943 et 1944 se trouve maintenant sous l’eau.
Drôles d’épaves, cette succession de molosses en béton enfouis peu à peu dans les fonds… On pourrait vous parler des deux casemates fichées à la pointe du Ferret, face à Hortense, où les plongeurs facétieux ont descendu dans le petit fortin sous-marin un dauphin de pierre et, en 1998, une Vénus sans bras ni tête, haute de 2,50 m et qui fait son poids, 460 kg.
pour en savoir plus

gramasa L’association présidée par Marc Mentel organise des opérations archéologiques et biologiques sur le site. Elle propose aussi des visites, tout au long de l’été, des batteries de La Teste, Soulac et Le Ferret (rens. offices de tourisme) et durant l’année, sur réservation. http://gramasa.free.fr. VIDéO On peut suivre une plongée sur site sur wat.tv (mots clés : Pyla bunkers plongée). Roman Stéphane Tamaillon, auteur jeunesse, publie en octobre chez Imaginemos « Le Mystère du trésor englouti ».
Chacun a consigne d’aller caresser son fessier à chaque descente, histoire de la débarrasser des moules et balanes qui adorent sa cambrure. Et de vérifier qu’elle reste debout. Une Vénus couchée, pensez, c’est bon pour les peintres. Petit fortin oui, une casemate, deux blockhaus, des poutrelles, des mitrailleuses et une tourelle blindée.
Dix hectares de bunkers
À la pointe de la pointe, tout a disparu dans le Bassin, récifs artificiels qui font désormais le bonheur de la vie sous-marine fixée, ou non d’ailleurs.
Les plus impressionnants de ces sites engloutis restent tout de même ceux du Pyla. Baptisés Ar 46 et Ar 47 par les Allemands de l’opération menée par Fritz Todt. Uniques sur les 5 000 kilomètres du mur de l’Atlantique, du Pays basque aux fjords de Norvège. Au Sabloneys, en face du camping du Petit Nice, et plus au sud, aux Gaillouneys, au droit de la maison forestière du même nom.
Une dizaine de bâtiments pour le premier, une vingtaine pour l’autre, bunkers, cuves à eau, mitrailleuses, casemates, puits… distants les uns des autres de 40 à 50 mètres. Plusieurs hectares sur une ligne parallèle à l’estran. La station radar des Sabloneys abrite un abri à canon antichar comme il n’en existe que sept en France, dont quatre en Gironde : La Teste, Soulac, le Ferret et Gujan-Mestras. Celui-là se visite, il est dans le parc de la Chêneraie, à la Hume. Pour se faire une idée des Sabloneys. Un bloc avec une seule ouverture pour la gueule du canon. Le canon des Sabloneys a été ferraillé après la guerre, et sa goule ne crache que des tacauds et des congres. D’ailleurs, les plongeurs surnomment ce site Le Congre. Ils ont tous un nom, ces bunkers : Le Filet, La Faille, La Citerne, La Caponnière, La Barque…
Un peu plus bas, Les Gaillouneys ont encore bénéficié d’une mission de fouilles l’an passé. On s’y intéresse à la faune, à la flore et à l’architecture militaire. Rare de voir sur le même site traquer le canon et l’hermelle. Avec l’université et les instances concernées, c’est le Gramasa qui pilote l’affaire, le Groupe de recherches archéologiques sur le mur de l’Atlantique secteur d’Arcachon.
200 mètres en dix ans
Quand on vous parle de l’érosion, du trait de côte, des rivages qui s’ensablent… Ici, la mer veut reprendre du terrain. La carte dessinée par le Gramasa est éloquente. On y voit la répartition exacte de chacun des bâtiments. Et les lignes de mer en 1950 et en 1960. 200 mètres les séparent. La vingtaine de blockhaus plantés là sur des ergots de sable a dégringolé vers le fonds, a pris l’eau au pied, puis à la tête.
Jusque dans les années 60, les marins peignaient de blanc ces énormes tortues de pierre et de sable échouées pour servir de repère côtier. On les a vus sombrer. Puis l’oubli. Méprisés au nom d’une sinistre mémoire. La guerre. Le travail obligatoire. Les accidents. Oubliés. Incroyable, mais vrai. Oubliés, jusqu’à ce que les plongeurs les retrouvent. Et en parlent joliment. Évoquent leur présence non plus comme de redoutables vestiges, mais des récifs, où les poissons colonisent les escaliers, les futaies de béton, les orifices.
Le mur de l’Atlantique englouti, par 20 à 30 mètres de profondeur ce n’est pas rien. Et c’était pourtant prévisible. Ici, l’Ifremer enregistrait depuis des années des données étonnantes. 1825, le sable avance sur la mer. 1854, il commence à battre en retraite. Le rivage renonce. En 100 ans, il perd 890 mètres. En même temps, la dune recule à l’amble, vers Biscarrosse. Valse à deux temps. Depuis 150 ans, cinq mètres par an. Il paraît que bientôt, les campings seront aussi sous l’eau. On repêchera des sardines.
4/6 drôles d’épaves Au fond des mers, des océans, enfouis dans les sables, gisent des épaves qui ne sont pas toujours des navires ou des trésors. Les plongeurs, la faune et la flore aquatiques se partagent quelques curiosités parfois très inattendues… À découvrir chaque lundi

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3Lu dans le journal Sud ouest Empty Re: Lu dans le journal Sud ouest Dim 15 Mai 2016 - 14:09

Erwan

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