De récentes recherches effectuées par l'équipe de ce forum dans les archives allemandes (merci DG !)ont révélé les préoccupations des allemands après le passage des anglais de l'opération Betasom dans l'estuaire quant à leurs installations dont ils ont l'usage pour entretenir leurs navires et autres sous marins !
Un exemple >> le dock flottant de Pauillac et les docks des chantiers navals de Gironde
Voici la définition issue de l'excellent travail De M Hervé Guichoux que vous pouvez découvrir ici >> http://bordeauxmaritime.free.fr
"Au point de vue destination, il n'existe aucune différence entre un dock flottant et un bassin de radoub. Tous deux sont appelés à recevoir des navires pour les mettre en cale sèche afin de les réparer. Mais, alors que le bassin de radoub est échoué sur le sol à un niveau inférieur à celui des plus basses marées, le dock flottant est une embarcation simplement amarrée en un endroit profond.
Cette construction est constituée par un plancher, porteur de tins sur lesquels viendront se poser les navires à caréner, et encadré par deux côtés. Mais ce plancher, d'une certaine épaisseur, est divisé intérieurement en chambres étanches (waterballast), que l'on remplit d'eau en ouvrant des vannes pour immerger le dock lorsqu'un navire doit venir s'y échouer. Celui-ci y pénètre comme dans une passe et s'arrête pour y être amarré. A ce moment, à l'aide de puissantes pompes, on refoule l'eau admise dans les chambres et l'ensemble, peu à peu allégé, se soulève jusqu'à ce que le radier soit hors l'eau.
Lorsque les réparations sont terminées, on immerge à nouveau le dock, et le navire remis automatiquement à l'eau, reprend sa route momentanément interrompue.
On pourrait se demander si le dock flottant est plus avantageux que le bassin de radoub. La question n'est pas résolue et les ports adoptent l'un ou l'autre appareil, selon leurs convenances. Le dock du port autonome de Bordeaux est amarré à Pauillac, en un endroit profond n'exigeant aucun dragage; c'est là, certainement, le principal argument en faveur de l'adoption du dock flottant."
La défense de cet équipement réside en un barrage flottant hérissé de barbelés faisant office de portail d'un enclos constitué de pieux eux aussi parcourus de barbelés
La localisation de cette enceinte barbelée est à rapprocher des chantiers navals de la Gironde eux mêmes barricadés de la sorte !
Un exemple >> le dock flottant de Pauillac et les docks des chantiers navals de Gironde
Voici la définition issue de l'excellent travail De M Hervé Guichoux que vous pouvez découvrir ici >> http://bordeauxmaritime.free.fr
"Au point de vue destination, il n'existe aucune différence entre un dock flottant et un bassin de radoub. Tous deux sont appelés à recevoir des navires pour les mettre en cale sèche afin de les réparer. Mais, alors que le bassin de radoub est échoué sur le sol à un niveau inférieur à celui des plus basses marées, le dock flottant est une embarcation simplement amarrée en un endroit profond.
Cette construction est constituée par un plancher, porteur de tins sur lesquels viendront se poser les navires à caréner, et encadré par deux côtés. Mais ce plancher, d'une certaine épaisseur, est divisé intérieurement en chambres étanches (waterballast), que l'on remplit d'eau en ouvrant des vannes pour immerger le dock lorsqu'un navire doit venir s'y échouer. Celui-ci y pénètre comme dans une passe et s'arrête pour y être amarré. A ce moment, à l'aide de puissantes pompes, on refoule l'eau admise dans les chambres et l'ensemble, peu à peu allégé, se soulève jusqu'à ce que le radier soit hors l'eau.
Lorsque les réparations sont terminées, on immerge à nouveau le dock, et le navire remis automatiquement à l'eau, reprend sa route momentanément interrompue.
On pourrait se demander si le dock flottant est plus avantageux que le bassin de radoub. La question n'est pas résolue et les ports adoptent l'un ou l'autre appareil, selon leurs convenances. Le dock du port autonome de Bordeaux est amarré à Pauillac, en un endroit profond n'exigeant aucun dragage; c'est là, certainement, le principal argument en faveur de l'adoption du dock flottant."
La défense de cet équipement réside en un barrage flottant hérissé de barbelés faisant office de portail d'un enclos constitué de pieux eux aussi parcourus de barbelés
La localisation de cette enceinte barbelée est à rapprocher des chantiers navals de la Gironde eux mêmes barricadés de la sorte !